AprĂšs des annĂ©es dâattente et de spĂ©culations, une lueur dâespoir (ou plutĂŽt de Plasmide) jaillit enfin de lâobscuritĂ©. Une image, une simple capture dâĂ©cran, a suffi Ă embraser la communautĂ© des fans de BioShock. Il ne sâagit pas dâun simple aperçu, mais dâune fenĂȘtre ouverte sur un monde qui pourrait bien redĂ©finir la sĂ©rie.
Voyage dans le temps , lâAntarctique des annĂ©es 60 ?
Lâimage en question, bien que floue et Ă©nigmatique, regorge de dĂ©tails intrigants. Une structure en forme de phare miniature, Ă©voquant les emblĂ©matiques portails dimensionnels de BioShock Infinite, laisse entrevoir un voyage dans le temps et lâespace. Les rumeurs dâune ville antarctique des annĂ©es 60, nommĂ©e Borealis, prennent soudainement une tout autre dimension.
Ce nâest pas seulement le dĂ©cor qui attire lâattention, mais aussi lâarme brandie par le joueur. Un fusil Ă pompe au nom Ă©vocateur, le « Ricochet Shotgun« , suggĂšre des mĂ©caniques de jeu inĂ©dites. Les balles rebondissantes pourraient transformer les affrontements en vĂ©ritables ballets mortels, oĂč chaque tir compte.
Une interface repensée, le temps, maßtre du jeu
Lâinterface utilisateur, Ă©purĂ©e et mystĂ©rieuse, rĂ©vĂšle une nouvelle approche des pouvoirs. Exit les compteurs de Plasmides et de Vigors, place Ă des icĂŽnes Ă©nigmatiques et Ă un sablier inquiĂ©tant. Le temps semble jouer un rĂŽle central, peut-ĂȘtre en permettant au joueur de le manipuler Ă sa guise. ArrĂȘter le temps pour prendre lâavantage sur ses ennemis ? Ralentir le cours des choses pour esquiver une attaque ? Les possibilitĂ©s donnent le vertige.
Cette fuite, loin dâĂȘtre un simple incident, est une invitation Ă la folie. Elle nous plonge dans un tourbillon de questions, de thĂ©ories et dâattentes dĂ©mesurĂ©es. BioShock 4 nâest plus une simple suite, câest une promesse de rĂ©volution. Alors, ĂȘtes-vous prĂȘts Ă perdre la tĂȘte (littĂ©ralement) ? PrĂ©parez-vous Ă plonger dans les abysses de lâinconnu, car le voyage ne fait que commencer.