Et bien oui, il semblerait. Non pas que des traces de produits dopants soient présentes dans des boissons énergisantes, mais certains constats et de récentes confidences ont poussé l’Electronic Sports League à prendre le problème très au sérieux.
Le constat est inquiétant, bon nombre de compétiteurs professionnels usent de produits illicites pour augmenter leur niveau de performances, certaines déclarations vont dans ce sens, et ce bien sur surtout pour les compétitions les mieux dotées financièrement.
La substance absorbée serait de l’Adderall, un psychostimulant constitué de sels d’amphétamine, il se destine aux personnes ayant des difficultés à se concentrer. Il est assez couramment utilisé aux Etats-Unis par certains étudiants pour accroitre leur faculté de mémorisation notamment. Il serait interdit dans l’hexagone mais autorisé sur prescriptions outre-Atlantique.
L’Electronic Sports League s’est donc rapprochée de certaines autorités comme la World Anti-Doping Agency pour mettre en place un protocole visant à dépister les « dopés ».